Avortement ou IVG … Je le garde ou pas

Nous sommes toutes des jeunes filles ( du moins pour les filles qui me lisent)

Et dans notre vie pleine et folle , nous sommes à un moment ou a un autre confrontées à  la sexualité. Qui dit SEXE, dit PROTECTION. Mais dans le cas où cette protection est mal faite ou pas faite du tout ( eh oui, parfois ça arrive  !) , nous pouvons nous retrouver face à l’épineux sujet dont nous avons surement toutes une grande frayeur : l’avortement !

Je me suis posée une question très importante pour chaque jeune femme : Si un jour , je me retrouve enceinte , sans le vouloir ou sans l’avoir voulu ( comprenant bien que ces deux expressions sont différentes) , que ferais-je ?

L’avortement ( terme parfois choquant) ou IVG  : Interruption Volontaire de Grossesse ( mots beaucoup plus soft) est une pratique qu’il ne faut pas rejeter du revers de la main. L’objet de cet article n’est pas d’en faire un slogan de campagne mais plutot comprendre et trouver parfois des circonstances atténuantes.

Viol, difficultés de toutes sortes, violence conjugale … peuvent être des exemples de motivation. Le tout n’étant pas de juger mais de sérieusement y réfléchir pour offrir à des femmes une alternative.

De l’autre côté , se pose le problème religieux : Dieu pardonne -t-il l’avortement ? N’est ce pas un crime de tuer un fœtus ?

Pendant ce temps, les scientifiques eux affirment que jusqu’à 20 semaines, un fœtus ne peut être viable donc considéré comme un être humain.

Les hommes du droit , se débattent quant à eux sur les notions du droit pénal selon lequel on ne parle d’enfant qu’à partir de la naissance.

Dans tout cet imbroglio , qu’envisage -t-on pour la femme qui elle se tourmente en pensant à ce qu’elle deviendra si oui ou non , elle pratique cette IVG ?

Ce ne sont que des idées, des mots qui reflètent le fond de ma pensée loin de toute déformation « politique  » ou idéologique.
Là , s’arrête mon marathon crânien …